Axelle Giulieri, Berlin 2017

Axelle, Berlin, 2017
© Gundula FRIESE / CLAIR by Kahn

Axelle à propos d'Axelle :

J'ai choisi de faire de la peinture, de l'art et je m'y tiens : peut être, pour "mettre au réel" ma vie rêvée.
J'ai commencé humblement, il y a 20 ans, en travaillant la mosaïque. Le contact avec les couleurs, les formes, la matière est devenu une occupation et préoccupation quotidienne.
Pour moi une oeuvre existe par elle même mais reflète aussi ce que l'autre y découvre.

Axelle à propos des collectionneurs :

J'aime le contact avec celle ou celui qui se lance dans l'achat d'un tableau, d'un objet car ce n'est pas anodin. Subitement cette autre personne ressent, à sa façon : ce qui est important est avant tout la beauté que dégage une oeuvre, qu'elle soit sur canvas ou sur n'importe quel autre support.

Axelle à propos de sa série "Les mots cachés":

Bien sûr il y a le jeu de mots entre mots et maux cachés mais il y a aussi ce goût que j'ai pour les jolis mots, ceux que l'on aime se dire à voix basse et donc lire et découvrir.
Je les cache dans mes toiles pour qu'ils se mêlent aux couleurs, aux formes : eux aussi ont leurs vies rêvées. Et peut-être, tout simplement parce que je ne sais pas dire, je peins.

Axelle sur l'art d'Axelle :

Ce chemin, ce processus par lequel je tente vraiment d'extraire une partie de moi est, j'ose le dire, un acte de foi.